Prosper MÉRIMÉE (1803-1870), écrivain, historien
Lettre autographe signée. 1 page in8. 1855.
Guérir les maux de la jeunesse…
« Monsieur, la tristesse dont vous vous plaignez est un
phénomène que tous les jeunes gens de votre âge ont
éprouvé. Il faut la secouer comme une faiblesse et
chercher à s’en guérir comme d’une maladie. Le
meilleur remède c’est le travail. Vous avez, dites-vous,
21 ans et vous gagné déjà plus que votre nécessaire.
C’est un heureux commencement. Travaillez, occupez-vous
de votre art, ou étudiez toute autre chose ».
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