André Borel
d'Hauterive (1812-1896), historien, conservateur à la bibliothèque Saint-Geneviève.
Lettre autographe signée. 2 pages in-8. Paris, 1872.
S’il n’a pas donné de nouvelles depuis trois ans, c’est
qu’il n’a rien trouvé à ajouter aux renseignements sur le bailli de Thiers
et sur le fief de Bourdillion. Il répond aux questions nouvelles de son
correspondant.
Concernant d’abord la vente de son émail de Laudin
(Nicolas Laudin 1628-1698). Il l’oriente vers M. Champfleury, directeur de la
Manufacture nationale de porcelaine et vers M. le baron Gustave de Rotschild.
Il insiste sur le fait qu’il faudrait donner une commission à la personne qui
lui a fourni ces deux pistes.
Ensuite, il répond à une demande d’obtention de particule
« de » : « Quant à la particule « de », il ne
faut pas songer en ce moment à l’obtenir. L’Empereur seul avait le droit de
la concéder ; ce qu’il faisait rarement. M. Thiers ne l’a pas encore fait
et n’a pas envie, je crois, de le faire ». Il l’oriente vers le
tribunal s’il a des actes authentiques.
Il lui signale également que le patronyme « Bourdillion »
n’est pas cité dans la généalogie de Bosredon.
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